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Les adhérents de l’Unafo ont adopté un plan de relance en 10 mesures du logement accompagné. Alors que les personnes logées (travailleurs migrants, précaires, bénéficiaires de minima sociaux ou jeunes travailleurs) ont été particulièrement frappées par la crise sanitaire, les différents segments du logement accompagné ont montré leur capacité d’adaptation et leur utilité sociale.

À l’issue d’un travail de recherche mené pendant un an, un collectif d’associations, aidé d’universitaires et d’économistes, souligne les difficultés d’accès au parc social des ménages à faibles ressources.

Le Ministre du Logement a signé le 3 juin une circulaire sur l’hébergement d’urgence et le logement d’abord. Cette circulaire, qui s’inscrit dans la nouvelle phase de déconfinement initiée depuis le 11 mai, fixe trois objectifs, dont amplifier le logement d'abord.

Jacques Toubon, Défenseur des Droits, vient de remettre son dernier rapport, puisqu’il quitte l’institution au mois de juillet prochain. Il évoque notamment l'application du droit au logement opposable.

La sénatrice  Annie Guillemot (PS, Auvergne-Rhône-Alpes) a déposé au Sénat une proposition de loi pour répondre à l’urgence d’aider les personnes fragilisées par la crise à conserver leur logement.

Pour l’Unafo, la crise sanitaire rend nécessaire d'afficher une ambition claire d’une individualisation de l’ensemble des logements en FTM d’ici 2026.

Retrouvez le podcast de l'interview de Arnaud de Broca, délégué général de l'Unafo, par Innovapresse.

La crise sanitaire, en privant tout ou partie des revenus des ménages en difficulté, affecte leurs ressources et donc leur capacité à payer le loyer et les charges.

« Le logement accompagné, un acteur devenu incontournable » est à lire dans les ASH du 1er mai.

Le 22 avril, le Haut comité pour le logement des personnes défavorisées a émis un avis sur l’effectivité du droit au logement opposable en période d’état d’urgence sanitaire.

L’Insee vient de publier une étude sur les conditions de vie des ménages en confinement. Le confinement touche de façon différenciée les populations, selon le type de logement qu’elles occupent ou la composition de leur ménage. L’étude souligne aussi l’impact de la fracture numérique.

Un mois après le début du confinement, que sont devenues les personnes sans-domicile et mal-logées ? Le Collectif des associations unies (C.A.U.) tire un premier bilan de ces semaines proches du chaos pour les personnes les plus exclues, dans un dossier de presse alimenté par de très nombreuses remontées de terrain.